lundi 12 octobre 2015
mardi 6 octobre 2015
Une île, un souvenir.
Mon
jour des merveilles
J’ai vécu le jour des
merveilles lorsque j’avais sept ans.Je venais d’emménager sur une
île.Vous voyez ce genre d’île, là où la chaleur règne toute
l’année, entourée d’eau turquoise, de poissons multicolores et
de coraux, située dans l’océan Indien. Cette île s’appelle
Mayotte.
Ce jour là, je rentrais
de l’école quand je vis un bateau dans mon jardin, je courus voir
mon père pour lui demander ce qui se passait.
« J’ai acheté un
bateau. Ça te dirait de faire un tour ? » me demanda-t-il.
Aussitôt dit, aussitôt
fait, nous voilà dans le bateau mon frère, ma sœur, mon père et
moi.
Mon père venait d’arrêter
le bateau au beau milieu de l’océan lorsque nous vîmes une
vingtaine d’ailerons de dauphins s’avancer vers nous. Ils
sautaient dans tous les sens et nous offraient un splendide spectacle
. Une vague de bonheur m’envahit. « Vous voulez nager
avec eux ? proposa mon père.
-Oui ! »
criai-je dans l’euphorie.
Mon frère, ne sachant pas
nager, et ma sœur, ayant peur, étaient restés sur le bateau.
En deux temps trois
mouvements , mon père et moi étions dans l’eau, nous nagions à
leur rencontre.Je m’approchai tout doucement de l’un d’entre
eux pour le caresser.Il n’y a aucun mot pour décrire ces
sensations. Sa peau était douce et rugueuse à la fois, une texture
que je n’avais encore jamais touchée, une texture très agréable.
Rien que de vous en parler j’en ai les frissons.
Je nageais tranquillement
avec les dauphins quand je sentis une main me tapoter l’épaule.Je
regardai derrière moi, une raie manta géante, qui faisait quatre
fois ma taille, s’avançait vers moi, la bouche ouverte prête à
m’avaler. Elle était impressionnante. Je me décalai doucement vers
la droite pour la laisser passer. Au bout d’une trentaine de
minutes, mon père me fit signe de remonter, c’était l’heure de
rentrer.
Aujourd’hui je réalise
la chance que j’ai eue car peu de gens ont nagé avec des dauphins
en liberté. Maintenant que je vis loin de la mer je réalise à quel
point elle me manque.
Ce n’est que lorsqu’on
n’a plus quelque chose qu’on réalise combien ça compte.
Mélissa SABUCO. 3ème. 2015.
vendredi 4 septembre 2015
Le (crayon) Le stylo
Le stylo c’est l’amitié,
la communication.
Le stylo, c’est parler,
à sa propre façon.
Le stylo c’est créer,
l’art des nations.
Le stylo fait aimer,
toutes les passions.
Le stylo, c’est écrire,
sans modération.
Le stylo, c’est guérir,
un antidote, une potion.
Le stylo, c’est dessiner,
comme son cousin le crayon.
Le stylo c’est rouge, vert,
parfois même marrant.
Le stylo c’est la poésie,
la prose, la chanson.
Le stylo c’est universel,
c’est je, nous et on.

Med Ali MOUTIE.
6ème 3.
Le stylo, c’est dessiner,
comme son cousin le crayon.
Le stylo c’est rouge, vert,
parfois même marrant.
Le stylo c’est la poésie,
la prose, la chanson.
Le stylo c’est universel,
c’est je, nous et on.

Med Ali MOUTIE.
6ème 3.
samedi 13 juin 2015
Fin d'année, ecrire pour s'amuser : une scène, une description et une partie en vers... mais écrire sur quoi !
Des élèves de cinquième
ne sont pas d’accord sur le choix d’une histoire à écrire.
Yahya : J’ai une idée, si on faisait une
histoire sur …
Tout le monde :
Ah ouais, sur eh …
Ismaël :
Attendez, se tournant vers Sonia, Pourquoi Patrick ?
Sonia : Parce que …
Foucauld : Sois plus claire.
Sonia : Ok,
parce qu’il est drôle, mignon, en plus il est rose et c’est une étoile de mer.
Yahya : Je suis d’accord, en plus il cache
tout le temps des choses dans son nombril. Mais, je préfère Hugo.
Océane : Pourquoi Hugo ?
Yahya : Je
l’aime bien car il est gros, très gros. En plus, il est un peu cultivé.
Ismaël : C’est vrai, mais Vomito c’est
mieux. Il a une petite tête et un ventre plat puis, dès qu’il voit de la
nourriture, il se gonfle, il devient vert et il vomit.
Foucauld : Ouais. Mais, pourquoi pas
Titeuf ?
Imane : Que veux-tu
dire ?
Foucauld : Bah, il est intelligent, très beau.
Il a de l’humour et il est très amoureux ce qui veut dire qu’il a un cœur.
Yahya : En parlant de la même histoire,
j’aime bien Nadia.
Sonia : Ouais moi aussi, en plus elle est
moche.
Yahya : Et ses lèvres on dirait des
crevettes
Océane : Moi, je propose Voldemort.
Ismaël : Moi, je n’aime pas.
Océane : Mais si ! Voldemort est
grand et mince. Il porte une affreuse robe noire. Il a de longs doigts fins.
Deux fentes au milieu du visage lui servent de nez. Il est égoïste et n’hésite
pas à tuer pour faire ce qu’il veut.
Imane et Sonia : Vous savez quoi, on va faire une
histoire sur les mangas !
Foucauld : Mouais…
Imane : Mais si, écoute :
Les mangas c’est
fantastique,
Avec les images, c’est magnifique.
Fairy Tail ou Naruto.
Bleach ou Toruko.
Allez, avouez, ce n’est
pas idiot !
Yahya : Si,
c’est idiot.
Imane : j’ai une idée, et si on faisait une
histoire avec tous nos personnages ?
Tout le monde : Oui !
Bonne idée.
Imane, Océane, Yahya, Foucauld, Sonia,
Vendredi 12 juin 2015
Vendredi 12 juin 2015
jeudi 21 mai 2015
Un monsieur Badin au LFPV.
Un
retard, Des excuses très vraisemblables:
Couscous essoufflé toque à la
porte de la classe de Monsieur Braguette
M. Braguette : Hé ! Coucous ! Vous ne
pouvez plus rentrer en classe maintenant ! Il est trop tard !
Couscous :
Désolé monsieur Barquette ; mais …
M. Braguette : BRAGUETTE ! l’interrompant
Couscous :
Désolé monsieur Baguette mais….
M. Braguette : mais vous êtes sourd ! C’est
BRAGUETTE ! l’interrompant une nouvelle fois
Couscous :
Excusez-moi monsieur Bra… monsieur !
M. Braguette : Quel est le motif de votre
retard ?
Couscous :
Et bien Monsieur Braguette, c’est un peu comme le motif de votre caleçon…un peu
étrange…
M. Braguette :
Essaie toujours Couscous !... En remontant sa braguette – à part - « J’espère
que personne d’autre ne m’a vu ! »
Couscous :
Eh bien monsieur je commence par dire que ce n’est pas ma faute !
M. Braguette : Ah oui ! Et c’est la faute à
qui ? Votre mère qui a accouché de son cinquième enfant de l’année ou à
votre grand-père qui vient de mourir… ENCORE !
Coucous :
Monsieur ! C’est ma bassine ! Euh…euh … NON ! Ma voisine !
Couscous :
Euh…euh… Elle m’a demandé de …de …de lui acheter des …des brocolis au
supermarché !
M. Braguette : Des brocolis …à 8 heure du
matin ?...Bon ; mais ça ne pouvait pas vous retarder tant que
ça ! Hein Couscous ! Ça sent un peu le tajine brulé tout ça !
Couscous :
Non, non ! Ce n’est pas tout ! Car une fois prêt pour y aller … le
bus n’était pas là…Donc j’ai fait le TOUR DE LA VILLE à PIED ! Mais une
fois arrivé, au supermarché ; il était fermé … Donc j’ai voulu appeler le
directeur du supermarché ! Mais comme toujours ; boite vocale ! C’est
là que je suis retourné chez moi et pris compte de l’heure ! Puis
j’ai pris mon vélo et me suis dirigé vers l’école ! Mais arrivé là-bas, le
gardien de la loge était endormi ! Donc j’ai du grimper et sauter le
grillage ! Ce qui m’a retardé encore plus …Vous voyez monsieur
Biscotte ! Ce n’est pas ma faute !
5e3
lundi 18 mai 2015
Un Clin d oeil à La Fontaine,
Fable
Il
était une fois, dans la ferme des voisins
Deux
jeunes béliers qui étaient copains.
L’un
Hamza et l’autre Arthur,
Tous
deux aimaient une brebis avec une belle allure
Hamza
s’était rendu compte après,
Que
la brebis aimait Arthur derrière les cyprès.
Il
décida alors de se débarrasser de lui,
Et
ramassa des herbes toxiques pendant la nuit.
Le
soir, Hamza déposa les herbes dans la mangeoire
Et
attend qu’Arthur les broutes en début du soir.
Le
fermier ce jour là se leva tôt,
Et
décida de mélanger le foin avec son râteau.
Il
remarqua que Hamza n’avait pas assez de fourrage,
Et
remplit son mangeoire d’herbe sauvage.
Le
matin en se réveillant,
Hamza
brouta l’herbe en souriant.
Le
soir, il avait mal et vomissait,
Et
se rendit compte qu’il périssait.
Le
fermier remarqua tout de suite sa souffrance,
Et
l’emmena chez le vétérinaire en urgence.
Mais
c’était déjà trop tard,
Le
malheureux est mort comme un dard.
Tel est pris qui croyait prendre.
ZOUINE Hamza
6ème 3
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