jeudi 21 mai 2015

Un monsieur Badin au LFPV.



Un retard, Des excuses très vraisemblables:

Couscous essoufflé toque à la porte de la classe de Monsieur Braguette
M. Braguette : Hé ! Coucous ! Vous ne pouvez plus rentrer en classe maintenant ! Il est trop tard !
Couscous : Désolé monsieur Barquette ; mais …
M. Braguette : BRAGUETTE ! l’interrompant
Couscous : Désolé monsieur Baguette mais….
M. Braguette : mais vous êtes sourd ! C’est BRAGUETTE ! l’interrompant une nouvelle fois
Couscous : Excusez-moi monsieur Bra… monsieur !
M. Braguette : Quel est le motif de votre retard ?
Couscous : Et bien Monsieur Braguette, c’est un peu comme le motif de votre caleçon…un peu étrange…
 M. Braguette : Essaie toujours Couscous !... En remontant sa braguette – à part - « J’espère que personne d’autre ne m’a vu ! »
Couscous : Eh bien monsieur je commence par dire que ce n’est pas ma faute !
M. Braguette : Ah oui ! Et c’est la faute à qui ? Votre mère qui a accouché de son cinquième enfant de l’année ou à votre grand-père qui vient de mourir… ENCORE !
Coucous : Monsieur ! C’est ma bassine ! Euh…euh … NON ! Ma voisine !
M. Braguette : Votre voisine ? Vous ne me l’avez jamais faite celle là ! Qu’a-t-elle ?
Couscous : Euh…euh… Elle m’a demandé de …de …de lui acheter des …des brocolis au supermarché !
M. Braguette : Des brocolis …à 8 heure du matin ?...Bon ; mais ça ne pouvait pas vous retarder tant que ça ! Hein Couscous ! Ça sent un peu le tajine brulé tout ça !
Couscous : Non, non ! Ce n’est pas tout ! Car une fois prêt pour y aller … le bus n’était pas là…Donc j’ai fait le TOUR DE LA VILLE à PIED ! Mais une fois arrivé, au supermarché ; il était fermé … Donc j’ai voulu appeler le directeur du supermarché ! Mais comme toujours ; boite vocale ! C’est là que je suis retourné chez moi et pris compte de l’heure ! Puis j’ai pris mon vélo et me suis dirigé vers l’école ! Mais arrivé là-bas, le gardien de la loge était endormi ! Donc j’ai du grimper et sauter le grillage ! Ce qui m’a retardé encore plus …Vous voyez monsieur Biscotte ! Ce n’est pas ma faute !


Meryem Ouhmidou
5e3

lundi 18 mai 2015

Un Clin d oeil à La Fontaine,


Fable
Il était une fois, dans la ferme des voisins
Deux jeunes béliers qui étaient copains.
L’un Hamza et l’autre Arthur,
Tous deux aimaient une brebis avec une belle allure
Hamza s’était rendu compte après,
Que la brebis aimait Arthur derrière les cyprès.
Il décida alors de se débarrasser de lui,
Et ramassa des herbes toxiques pendant la nuit.
Le soir, Hamza déposa les herbes dans la mangeoire 
Et attend qu’Arthur les broutes en début du soir.
Le fermier ce jour là se leva tôt,
Et décida de mélanger le foin avec son râteau.
Il remarqua que Hamza n’avait pas assez de fourrage,
Et remplit son mangeoire d’herbe sauvage.
Le matin en se réveillant,
Hamza brouta l’herbe en souriant.
Le soir, il avait mal et vomissait,
Et se rendit compte qu’il périssait.
Le fermier remarqua tout de suite sa souffrance,
Et l’emmena chez le vétérinaire en urgence.
Mais c’était déjà trop tard,
Le malheureux est mort comme un dard.
Tel est pris qui croyait prendre.

à vous maintenant de trouver la version originale.








ZOUINE Hamza
6ème 3